dimanche 16 octobre 2011

DARKNESS FANZINE n°12






















J'ai une tendresse particulière pour Darkness, d'abord nous sommes contemporains, nos débuts dans le fanzinat datent de la même époque (les années 80) et ensuite j'ai un profond respect pour son auteur Christophe Triollet. Il fut l'un des premiers à me répondre en 1989 quand à l'occasion de la sortie du numéro 3 de Médusa, j'envisageais d'ouvrir les colonnes du numéro à d'autres fanéditeurs, conscient déjà que la conjugaison des plumes pour un fanzine était la garantie d'un sommaire varié et attrayant mais aussi d'une diversité de ton nécessaire pour happer le lecteur. Cette lettre, je l'ai toujours, je l'ai d'ailleurs relue il y a peu à l'occasion d'un tri phénoménal dans mes tiroirs. Christophe Triollet est resté le même, fidèle à ses engagements d'alors, fidèle en amitié et fidèle à sa vision du fanzinat. Ce nouveau numéro de Darkness en témoigne, l'érudition y côtoiera un réel professionnalisme (et oui même pour un amateur!) à la fois informatif et passionné.

Sa sortie est annoncée pour novembre 2011, voilà comme Christophe le présente : "
En novembre 2011, toujours avec Sin'Art, DARKNESS FANZINE proposera un 12ème numéro abordant le deuxième volet de la thématique : sexe et censure au cinéma en France. La conception rassemble sur plus de 120 pages certains des rédacteurs du numéro précédent (Bernard Joubert, Lionel Trélis, Albert Montagne...) mais aussi de nouvelles plumes. Jean-Pierre Putters (Mad Movies), Éric Peretti (Sueurs Froides), Laurent Garreau (Archives secrètes du cinéma français) et Alan Deprez (Cinefantastique.com) rejoignent ainsi la rédaction en offrant des articles d'une grande qualité. Ce numéro sera suivi d'un troisième opus, déclinant sur le même thème, la problématique de la politique et de la religion (2012) à l'écran. Du Baiser pourtant sage de May Irwin et John C. Rice en 1896 aux images bien plus explicites d'Hustler white un siècle plus tard, le cinéma n'en finit pas d'engendrer les polémiques lorsqu'il montre ou parle de sexe. Comment distinguer un film pornographique classé X interdit aux moins de 18 ans d'un film contenant des scènes de sexe non simulées interdit aux seuls mineurs de 16 ans ? Qu'est-il permis de montrer en France et quelles sont les limites admises par les pouvoirs publics et la justice ? "

Pour plus d'infos, rendez vous ici : http://darkness-fanzine.over-blog.com

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