@ Medusa Fanzine : Je viens de recevoir le Médusa 23, je profite de l'occasion pour te remercier de la rapidité de l'envoi, avant d'en goûter la lecture, mais ce n'est que du beau et du bon. Pour Jean Rollin, il faut le sortir du silence où il est. Peu connu en France, hormis des passionnés, il est reconnu aux Etats-Unis, où il y a même des études universitaires qui lui sont dédiées. Les Américains ont font un pape de l'underground, capable de faire des films de zombies, comme de vampire, voire de se livrer à une critique sociale, sous couvert d'un fantastique primesautier. Il y aurait, en effet, des livres à écrire sur lui et sur des femmes, et surtout sur la manière dont il savait les filmer...
Celui-là, je l'ai pas... Y a qui, dans les entretiens ?...
RépondreSupprimerJean Rollin... mais qui évoque longuement ses comédiennes. Les anecdotes sur Sandra Julien ne sont pas piquées des hannetons !
RépondreSupprimer@ Medusa Fanzine : Je viens de recevoir le Médusa 23, je profite de l'occasion pour te remercier de la rapidité de l'envoi, avant d'en goûter la lecture, mais ce n'est que du beau et du bon.
RépondreSupprimerPour Jean Rollin, il faut le sortir du silence où il est. Peu connu en France, hormis des passionnés, il est reconnu aux Etats-Unis, où il y a même des études universitaires qui lui sont dédiées. Les Américains ont font un pape de l'underground, capable de faire des films de zombies, comme de vampire, voire de se livrer à une critique sociale, sous couvert d'un fantastique primesautier. Il y aurait, en effet, des livres à écrire sur lui et sur des femmes, et surtout sur la manière dont il savait les filmer...
Merci Yohann ! Tout à fait d'accord avec toi pour Jean Rollin. Bonne lecture du Médusa
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