La réalité rattrape la fiction et nous plonge dans l'affliction. En cet été d'ores et déjà meurtrier, nos larmes n'ont pas le temps de sécher que de nouvelles disparitions assombrissent notre horizon funèbre. Je l'ai écrit par ailleurs avec le décès de Christopher Lee, c'est notre monde qui est parti dans la tombe, pour toujours et à jamais. Sa disparition sonne le glas de notre jeunesse, pire elle met un point final à l'histoire du cinoche que nous vénérons tant. Depuis notre retour du bloody week-end, les mauvaises nouvelles forment une sordide litanie : Alberto De Martino, la belle Laura Antonelli (pour moi la plus belle), Patrick MacNee, James Horner, Dick Van Patten, Magali Noël, Betsy Palmer, Pierre Brice, Jean Vautrin, Richard Johnson, Ron Moody...
Je pars revoir Ma femme est un violon, plus belle ode qui soit à la sublime Laura...
(D.L)
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