- Dites 33… - Médusa! - Non, dites «33»… - Mé-Du-Sa. - Il est con… - Gné?
Il y a 33 ans, j’avais 12 ans. Dans un petit pavillon d’un quartier popu de la capitale, j’écoutais les aventures de Bud Spencer & Terence Hill, alors diffusées en heavy rotation sur La 5. Oui, oui, j’écoutais les films ! Car si nous avions une télévision à peu près convenable - comprendre en Couleur -, l’antédiluvienne antenne à laquelle elle était reliée, en revanche, ne nous permettait de capter que le son des programmes TV… Bien des années plus tard, en pleine crise de nostalgie Bis, je tombe sur un exemplaire de Médusa des les rayons (hum!) de Movies 2000. Le Flash ! Tout y était, et tout le reste aussi ! Certes, en noir & blanc, sans le son, mais empreint d’une telle passion et d’un tel respect pour les sujets traités que je replongeais aussitôt, et pour longtemps, dans les méandres de ces filmographies folles, aujourd’hui impensables, de ces genres douteux, et de certains de ces acteurs aux destins hors normes. En cela, dire que ma cinéphilie doit énormément à Médusa Fanzine est un gentil euphémisme.
Joyeux anniversaire, Médusa ! Et félicitations à toi, Didier, pour cette incroyable persévérance !
RépondreSupprimerMerci !!!
SupprimerUn p'tit beurre, des touyous !
RépondreSupprimerthank youuuuuuuuuuuuuuuu!
Supprimer- Dites 33…
RépondreSupprimer- Médusa!
- Non, dites «33»…
- Mé-Du-Sa.
- Il est con…
- Gné?
Il y a 33 ans, j’avais 12 ans. Dans un petit pavillon d’un quartier popu de la capitale, j’écoutais les aventures de Bud Spencer & Terence Hill, alors diffusées en heavy rotation sur La 5. Oui, oui, j’écoutais les films ! Car si nous avions une télévision à peu près convenable - comprendre en Couleur -, l’antédiluvienne antenne à laquelle elle était reliée, en revanche, ne nous permettait de capter que le son des programmes TV… Bien des années plus tard, en pleine crise de nostalgie Bis, je tombe sur un exemplaire de Médusa des les rayons (hum!) de Movies 2000. Le Flash ! Tout y était, et tout le reste aussi ! Certes, en noir & blanc, sans le son, mais empreint d’une telle passion et d’un tel respect pour les sujets traités que je replongeais aussitôt, et pour longtemps, dans les méandres de ces filmographies folles, aujourd’hui impensables, de ces genres douteux, et de certains de ces acteurs aux destins hors normes. En cela, dire que ma cinéphilie doit énormément à Médusa Fanzine est un gentil euphémisme.
Joyeux anniversaire Médusa, et Merci pour tout.
A.R
ça me touche beaucoup ! Merci !
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