Affichage des articles dont le libellé est court métrage. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est court métrage. Afficher tous les articles

lundi 1 septembre 2014

Quatrième Festival du court métrage de genre

FEST’ FESTIVAL DU COURT-MÉTRAGE DE GENRE






FEST comme Fantastique, Étrange, Suspense et Thriller.

Franck Villette et l’association Les Films Avenir organisent le FEST’ Festival du court-métrage international de genre. La 4e édition se tiendra le samedi 20 septembre 2014 de 18h à 23h au cinéma La Clef à Paris (34, rue Daubenton – Paris 5e) Une sélection de courts-métrages français et internationaux est présentée. Dédié au cinéma de genre, les thèmes du festival sont l'angoisse, l’épouvante, l'étrange, le fantastique, le frisson, le gore, l'horreur, l’imaginaire, le merveilleux, le paranormal, la peur, le polar, la science-fiction, le surnaturel, le suspense, le thriller et les zombies.

Cet événement est dédié aux amateurs de frissons, à ceux qui s’interrogent sur la représentation des mondes imaginaires parallèles ou étranges, ou tout simplement aux passionnés de cinéma et de cinéma de genre en particulier.

Plusieurs prix sont décernés par un jury de professionnels du cinéma et de la culture : prix du jury, prix du scénario, prix spécial du jury pour la technique. Le prix coup de cœur du festival est décerné par Les Films Avenir. Le public décerne également un prix en votant à l’issue des projections.


Programmation 2014

Samedi 20 septembre 2014 : 18h - 23h

18h00 – 19h30 : Compétition officielle 1
Abymée de Lionel Kaplan (10’20)
Le Hérisson de verre de Jean-Sébastien Bernard (10’17)
Big Brother de Pierre Folliot (20’02)
Pandémie de Mathieu Naert (9’)
Mona d’Alexis Barbosa (13’)
- Accueil des équipes de films, débat et présentation

20h00: Cérémonie d'ouverture
Présentation du festival et du jury

20h10 – 21h30 : Compétition officielle 2
Vos Violences d’Antoine Raimbault (17’30)
La Momie de Lewis Eizyckman (8’)
Skin de Cédric Prévost (13’)
Hotel de Jose-Luis Aleman (Espagne) (11’20)
On/Off de Thierry Lorenzi (13’24)
- Accueil des équipes de films, débat et présentation

21h45 : Hors compétition  (Dépouillement du vote du public)
Projection d’un film inédit hors compétition
7ème ciel de Guillaume Foirest (39’)

22h25 : Cérémonie de clôture
Palmarès et remise des prix

22h40 : Rencontres avec les professionnels et le public

lundi 19 août 2013

FESTIVAL DE PUTEAUX


Les 27 et 28 septembre prochain aura lieu à Puteaux la troisième édition du Festival International de Court-Métrage (Fantastique, Étrange, Suspense et Thriller). Plus d'infos prochainement !
Médusa Fanzine est partenaire de ce festival organisé par Les Films Avenir

dimanche 3 mars 2013

MEMORY OF THE DEAD

Sous ce beau titre, se cache le prochain film de Pascal Frezzato (réalisateur du Règne des insectes, chronique in Médusa 24). Un film de zombies, dans lequel modestement je serai acteur,  alors vous pouvez nous aider à réaliser ce projet. Devenez co-producteur en faisant une petite contribution (à partir de 5 euros) D'avance merci !

Allez voir ici : http://fr.ulule.com/memory-dead/

                                                                                L'affiche du film superbement rétro bis  

mercredi 20 juin 2012

TOUS AU SMUF !

Du vendredi 22 au dimanche 24 Juin 2012
M.J.C espace Athéna de St Saulve (59, près de Valenciennes)


Le S.M.U.F (short movies underground festival), organisé par Bad Boys Productions en partenariat avec la MJC de Saint Saulve est un festival du court métrage d’action et fantastique.
Il se déroulera du vendredi 22 au dimanche 24 juin 2012 dans les locaux de la MJC et à l’espace Athéna pour la projection des œuvres cinématographique.
Parrainé par Jo PRESTIA, le S.M.U.F  propose des courts métrages en compétition, jugés par des professionnels du cinéma (acteurs, réalisateurs, producteurs, techniciens ….)
Ces courts métrages seront entrecoupés de plusieurs longs métrages en hommages aux personnalités présentes mais également pour permettre en amont de la projection du film un échange ‘débat-conférence) sur le film lui-même, sa réalisation, les acteurs présents ou autre ….
Une zone sera dédiée à la tenue de stands en rapport avec le cinéma.
D’autres animations autour du festival sont prévues comme des démonstrations d’arts martiaux, maquillage Fx, expo, concerts ….

J'y serai !

samedi 10 décembre 2011

MANDRAGORE de Fabrice BLIN (2011)


MANDRAGORE, un film de Fabrice BLIN (2011)

Il me tardait de découvrir Mandragore, le dernier court-métrage de Fabrice BLIN. Son titre, d’abord, me soufflait à l’oreille les chants mystérieux de nombreuses croyances et légendes et conférait d’emblée à l’œuvre un caractère poético-fantastique. Ma présence au festival Extrême Cinéma de Toulouse m’offrit l’occasion de le voir, et qui plus est, en salle ! Je l’affirme d’emblée, j’ai apprécié grandement cette nouvelle production Metaluna. Les 17 minutes du film s’écoulent facilement, naturellement amenant lentement mais sûrement le spectateur à un Deus ex Machina (que j’avais certes anticipé) qui laisse exploser au grand jour le Fantastique.

Nous suivons tout d’abord Bruno SLAGMULDER (très bon comédien) errer dans une forêt touffue. Il est nu et semble désorienté. Il trouve refuge dans une demeure plutôt rudimentaire, semblant venir d’un autre âge où habitent la charmante Agathe de la BOULAYE (mes rétines vous remercient pour la scène de bain) et son petit garçon un brin bougon. L’hôtesse panse ses plaies, le soigne. A son réveil, il comprend que ce n’est pas une femme tout à fait comme les autres et que son beau visage cache des secrets ancestraux. Sa mission était de la repérer et de l’éliminer mais… suspense je n’en dirai pas plus.

Si le film rappelle avec brio certains classiques du Fantastique (Terminator par exemple, mais aussi La Nurse), il ne s’agit en rien d’une démarcation servile, Mandragore suit son propre chemin et fait preuve d’une belle singularité. Trop de courts métrages choisissent l’angle du pastiche ou du hard gore pour que je ne souligne pas ici la volonté de raconter une histoire insolite où l’irréel surgit du naturel, un peu à la manière des scripts de La quatrième dimension.

Je l’ai évoqué plus haut, les comédiens sont très bons, tout comme le sont la photographie, la mise en scène et les effets spéciaux du doué David SHERER. Fabrice BLIN a un avenir prometteur devant lui. J’espère qu’il conservera cet esprit qui lui est propre, cette intemporalité, cet attachement au genre sans ambigüité pour nous livrer d’autres films tout aussi singuliers.

Mandragore m’a ouvert l’appétit, au boulot Fabrice !

Didier LEFEVRE